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Experts : Cellulaires dans les écolesÌý

±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 2 May 2025

Le ministre de l'Éducation, Bernard Drainville, a annoncé qu'à partir de septembre 2025, l'utilisation du téléphone cellulaire par les élèves serait interdite dans toutes les écoles du Québec, même pendant les pauses. ÌýCette décision fait suite à un rapport intérimaire de la Commission parlementaire sur les impacts du temps d'écran chez les jeunes. Il appartiendra aux établissements scolaires de décider des modalités d'application de ces nouvelles règles.Ìý

Ces experts de l'Université ´ó·¢²ÊƱƽ̨ sont disponibles pour s'exprimer à ce sujet :

Adam Dubé, professeur agrégé au Département de psychopédagogie et de psychologie du counseling, directeur du laboratoire de technologie, d'apprentissage et de cognition, affirme que, dans l'ensemble, les preuves des effets négatifs des téléphones portables sont faibles. Il suggère que le problème des téléphones portables dans les écoles soit abordé par le biais de la citoyenneté numérique plutôt que par une interdiction pure et simple. Il estime que les interdictions empêchent les éducateurs d'utiliser les outils numériques à leur disposition et que, si les écoles privées sont en mesure de fournir des écrans alternatifs à des fins éducatives dans les salles de classe, les élèves de statut socio-économique inférieur risquent d'être gravement affectés. Ìý

adam.dube [at] mcgill.ca (²¹²Ô²µ±ô²¹¾±²õ)Ìý
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Sara Grimes, titulaire de la chaire Wolfe de culture scientifique et technologique et professeure au département d'histoire de l'art et d'études en communication, peut parler des défis auxquels sont confrontées les écoles dans la mise en Å“uvre de ce type d'interdictions, ainsi que des objections formulées par les élèves et les parents. Elle soutient qu'il est important que les écoles soutiennent la culture numérique, plutôt que de laisser cette tâche aux seuls parents et enfants. Elle affirme également que les données scientifiques qui sous-tendent les affirmations sur les effets négatifs des téléphones portables ne sont pas concluantes.Ìý

Sara.grimes [at] mcgill.ca (²¹²Ô²µ±ô²¹¾±²õ)Ìý
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Shaheen Shariff, professeure James ´ó·¢²ÊƱƽ̨, Département d’études intégrées en sciences de l’éducation, peut parler de la cyberintimidation, des médias sociaux et de la santé mentale.Ìý

Shaheen.shariff [at] mcgill.ca (²¹²Ô²µ±ô²¹¾±²õ)Ìý
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Victoria Talwar, professeure au Département de psychopédagogie et de psychologie du counseling, directrice du Centre Daniel et Monica Gold pour le développement de la petite enfance, peut s'exprimer sur les conséquences de la cyberintimidation.Ìý

Victoria.talwar [at] mcgill.ca (²¹²Ô²µ±ô²¹¾±²õ)Ìý note : non disponible avant le 5 mai.Ìý

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